Ousmane Sonko avait promis d’effacer Abdou Nguer à l’Assemblée nationale
L’arrestation d’Abdou Nguer est l’ultime preuve que le régime de Ousmane Sonko ne tolère ni la contradiction ni la vérité. En exposant les failles de l’affaire Adji Sarr, les dérives financières, les mensonges et manipulations politiques de PASTEF et les manipulations sur le rapport de la Cour des Comptes, Abdou Nguer est devenu l’homme à abattre. Retour sur une tentative de liquidation politique inacceptable.
Abdou Nguer en prison, Azoura Fall libre : le deux poids, deux mesures d’un régime aux abois
Dans un Sénégal qui prétend avoir tourné la page de l’injustice, l’incarcération d’Abdou Nguer et la libération d’Azoura Fall illustrent une dérive alarmante du régime de Ousmane Sonko. Le premier a dénoncé les mensonges, les détournements et les manipulations. Le second, impliqué dans des actes mille fois plus graves, bénéficie d’une liberté choquante. Le message est clair : la vérité dérange, le mensonge est protégé. C’EST INSUPPORTABLE !
1. Abdou Nguer : un lanceur d’alerte ciblé
Avec courage, méthode, intelligence et une rare rigueur, Abdou Nguer a démonté pièce par pièce l’édifice mensonger du nouveau régime. Il a révélé :
Les incohérences et les zones d’ombre de l’affaire Adji Sarr, que le pouvoir utilise comme fond de légitimation politique.
La gestion trouble de l’Onasgate, de l’Asergate, et les scandales qui foisonnent de partout sous le régime de PASTEF.
Les manipulations d’Ousmane Sonko sur le rapport de la Cour des Comptes
Les techniques de manipulation, de victimisation et d’intimidation utilisées par PASTEF pour asseoir son autorité.
En mettant ces vérités sur la place publique, Abdou Nguer a brisé le silence. Et le pouvoir, pris de panique, a choisi la voie de la répression.
2. Un pouvoir aux abois, prêt à tout pour faire taire
Le premier ministre Ousmane Sonko, dans une posture d’un autre temps, a publiquement menacé Abdou Nguer à l’Assemblée nationale, l’accusant de « propager de fausses nouvelles » et promettant de « l’effacer ». Cette déclaration, gravissime, devant la représentation nationale, révèle un projet de liquidation politique clair, assumé, et orchestré au sommet de l’État.
Ce n’est plus seulement une injustice : c’est un crime contre la démocratie.
3. Une arrestation politique, un procès de la vérité
L’interpellation d’Abdou Nguer ne repose sur aucun fondement juridique solide. Elle s’inscrit dans une stratégie de terreur politique, visant à intimider toute voix dissidente. Le régime ne supporte pas qu’un homme seul, sans parti, sans armée, sans fortune, parvienne à ébranler le récit officiel. Abdou Nguer est coupable d’avoir dit la vérité, et pour cela, il est persécuté.
4. Une responsabilité collective : ne pas se taire
L’affaire Abdou Nguer n’est pas une simple querelle entre un citoyen et un premier ministre. C’est le symbole d’un tournant autoritaire, où les mots sont criminalisés, où les révélations sont traitées comme des crimes d’État. Aujourd’hui, c’est lui. Demain, ce sera vous, nous, tous les citoyens libres.
Le Sénégal traverse un moment grave. L’arrestation d’Abdou Nguer est une attaque contre la liberté, contre la vérité, contre la République. En tentant de faire taire cet homme honnête et sincère, le régime montre son vrai visage : celui de la peur, de la manipulation et de la brutalité. Mais la vérité finira toujours par triompher. Et Abdou Nguer, qu’ils le veuillent ou non, restera dans l’histoire comme celui qui a osé tout dire.
Sarr le sénégalais d’Allemagne
