LE VÉRITABLE PROBLÈME DU SÉNÉGAL, C’EST OUSMANE SONKO
Depuis l’arrivée de Ousmane Sonko et de son parti PASTEF à la tête du Sénégal, le pays est plongé dans une crise multidimensionnelle sans précédent. Au-delà des slogans et du populisme, c’est l’incompétence, l’amateurisme et la violence politique qui gouvernent désormais notre quotidien. Il est temps de dire les choses telles qu’elles sont.
I. UNE INCOMPÉTENCE FLAGRANTE À LA TÊTE DE L’ÉTAT
Ousmane Sonko ne dispose ni du parcours académique, ni de l’expérience professionnelle ou institutionnelle nécessaires pour diriger un État moderne et complexe comme le Sénégal.
- Aucune gestion publique d’envergure
- Aucune expérience diplomatique ou économique significative
- Une carrière administrative écourtée et sans impact notable
Son profil n’a jamais été à la hauteur de ses ambitions. Aujourd’hui, la réalité du pouvoir confirme ce que beaucoup redoutaient : l’homme n’est pas préparé, et ne pourra jamais l’être.
II. UNE STRATÉGIE POLITIQUE BASÉE SUR L’ENNEMI INTÉRIEUR
Avant son accession au pouvoir, Sonko a méthodiquement attaqué :
La France, le FMI, la Banque Mondiale,
Les institutions républicaines (justice, armée, police),
Les figures historiques et respectées de la nation : Moustapha Niasse, Idrissa Seck, Youssou Ndour, les guides religieux, les préfets, les gouverneurs, les hommes d’affaires, les acteurs culturels…
Cette stratégie destructrice n’avait qu’un objectif : affaiblir la République pour mieux asseoir son pouvoir personnel.
III. UNE COMPLICITÉ AVEC LES FORCES DE DÉSTABILISATION
Sonko et son mouvement ont tissé des alliances troublantes :
- Le MFDC qui reprend les armes en Casamance,
- Les putschistes de la sous-région,
- Des figures controversées comme Cledor Sène (impliqué dans l’affaire du juge Sèye),
- Des activistes violents, des insulteurs publics et des pyromanes politiques.
- Les ennemis de la République sont devenus ses partenaires.
IV. DES PROMESSES ILLUSOIRES ET UNE DÉSILLUSION GÉNÉRALISÉE
Le régime Sonko s’est construit sur des promesses irréalistes :
- Un appel à candidatures bidon pour berner la diaspora
- Des millions d’emplois fantômes pour séduire une jeunesse désespérée
- Des slogans de rupture sans feuille de route claire
Aujourd’hui, tout s’effondre. La population réalise qu’elle a été dupée. Le pays est gouverné par des slogans, pas par des solutions.
V. UNE DÉGRADATION ACCÉLÉRÉE DE TOUS LES INDICATEURS
Diplomatie :
Le Sénégal perd du terrain, même face à la Mauritanie, dans les instances africaines.
Notre influence régionale et internationale s’est effondrée.
Économie :
Les projets sont bloqués.
Les investisseurs fuient.
Le climat des affaires est délétère.
Sécurité :
La criminalité explose.
Le MFDC se réorganise.
Les populations vivent dans l’angoisse.
Infrastructures :
Des commerces détruits.
Des stations d’essence saccagées.
Des banques incendiées
Gouvernance :
Le pays est entre les mains d’un groupe fermé, radicalisé, coupé de la réalité.
Le culte de la personnalité a remplacé l’intérêt général.
VI. LE LÉOPARD OU LA VIOLENCE COMME SYMBOLE
Le choix du léopard comme emblème du parti PASTEF n’est pas anodin : il incarne la violence, l’agressivité et la prédation. Sonko, loin d’incarner un chef d’État rassembleur, s’est érigé en opposant permanent, même contre les valeurs qui fondent notre République.
RÉSULTATS DES COURSES : NOTRE PAYS EST DANS L’IMPASSE À CAUSE D’UN HOMME
« Quand on est incompétent, on devient violent », dit l’adage. Sonko incarne cette vérité. Arrogant, impoli, autoritaire, il concentre tous les pouvoirs, muselle ses opposants et méprise l’élite nationale.
Aujourd’hui, le Sénégal est un vélo crevé que nous avons troqué contre un avion supersonique.
Le seul et unique problème du Sénégal, c’est Ousmane Sonko.
Il est temps que le pays ouvre les yeux.
Sarr le sénégalais d’Allemagne
