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PASTEF, LE LÉOPARD : UN ANIMAL DANGEREUX ET INUTILE

I. Le symbole du léopard : un choix révélateur

Le léopard est un animal prédateur solitaire, symbole de violence, de domination et d’agression. Son utilisation comme emblème politique n’est pas anodine, elle renvoie à :
1. Une logique de prédation : le léopard attaque pour survivre, sans construction durable ni esprit collectif. Il incarne une mentalité de pillage, incompatible avec une vision de développement stable et partagé.
2. La loi du plus fort : dans la savane, le léopard impose sa volonté par la force, comme le fait PASTEF dans le champ politique, refusant le dialogue, prônant la casse, la désobéissance et la confrontation permanente.
3. Une absence de vision coopérative : le léopard chasse seul. De même, PASTEF se marginalise volontairement, refusant toute coalition durable ou compromis politique, au mépris du consensus démocratique.
II. Une organisation populiste et dangereuse
PASTEF se positionne comme un parti populiste, exploitant les frustrations sociales à des fins électoralistes et manipulatrices :
Discours de division : stigmatisation systématique de « l’élite », des « vieux », des « riches », etc.
Instrumentalisation des jeunes : au lieu de leur offrir des outils pour s’élever, PASTEF les pousse à la révolte, à la violence urbaine, et parfois à des actions illégales.
Mépris des institutions : PASTEF conteste systématiquement les lois, les décisions de justice, les autorités légitimes (une forme de séparatisme politique)
III. Une orientation dictatoriale masquée sous des slogans
Bien que se prétendant démocrate, PASTEF développe des pratiques autoritaires :
Culte du chef : Sonko est présenté comme infaillible, intouchable, alors que toute contradiction interne est immédiatement réprimée ou exclue.
Uniformisation de la pensée : toute voix critique est accusée d’être « corrompue », « vendue », ou « contre le peuple ».
Tendances liberticides : leur projet de gouvernance laisse peu de place à la liberté de presse, à la pluralité d’opinion, ou à l’économie libre.
IV. Un programme vague, irréaliste et dangereux pour l’économie
Promesses irréalisables : le financement massif sans base économique solide.
Repli souverainiste risqué : hostilité envers les partenaires extérieurs (UEMOA, France, FMI, entreprises), ce qui compromet les investissements étrangers.
Désorganisation de l’appareil d’État : leur prise de pouvoir s’est faite sans feuille de route claire, aggravant les incertitudes économiques.
V. PASTEF, une menace pour la paix sociale
Encouragement de la radicalisation : des jeunes sans avenir, fanatisés, prêts à mourir pour des slogans creux.
Revendications identitaires violentes : ils flirtent avec des discours dangereux fondés sur l’ethnicisation du débat public.

Basculement vers l’affrontement permanent : PASTEF gouverne en opposition même au réel, refusant tout effort de stabilité ou de réforme sereine.
Conclusion : PASTEF, un parti prédateur, sauvage et instable
En prenant un animal violent et solitaire comme symbole, PASTEF affiche clairement son projet : dominer, attaquer, déstabiliser, plutôt que construire, dialoguer, ou élever le pays.
Le Sénégal n’a pas besoin de léopards assoiffés de pouvoir, mais de bâtisseurs, protecteurs, et visionnaires.
Ils nous avaient proposé la RUPTURE, ils nous ont servi la FRACTURE