Nous souhaiterions attendre le rapport de la cour des comptes éloigné des querelles politiciennes et considérations partisanes mais vu les allégations de Mr le Premier Ministre contre d’anciens ministres des finances du régime sortant nous appelons les personnalités incriminées au sens de la redevabilité et attendons avec impatience leurs parts de vérité.
1/ Si les faits sont avérés qu’elles s’expliquent devant le peuple qui en fonction des justifications fournies décidera de la tolérance au nom de l’intérêt de notre pays ou de la punition , à la hauteur de la faute commise.
Dans un tel cas le President de la Republique , devra avant tout prendre son balai et débarrasser de notre administration tous les fonctionnaires mêlés à ces pratiques de quelque bord politique qu’ils puissent être aujourd’hui.
2/ Par contre Si les accusés rejettent ces allégations , arguments convaincants à l’appui, le peuple saura à quels genre de gouvernants il a affaire et prendra les sanctions adéquates à la diffusion de fausses nouvelles aussi graves.
Voilà pourquoi le silence est inacceptable ici. Les dirigeants d’hier ne doivent pas contribuer à l’apologie de la nargue que certains dirigeants d’aujourd’hui cherchent à ériger en mode face aux interrogations et interpellations légitimes de leurs mandants.
Ces affaires ONAS, ASER, Finances aujourd’hui doivent connaître une opération coup de point et être tirées au clair avant que le patriotisme et la bonne gouvernance ne lâchent sous la pression de la ruse et du leurre
Le Coordonnateur
Babacar Mbaye Ngaraf